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Maxime Jdanoff
20 ans de planning strat en agence.

Mon parcours

C’est eux qui le disent

Force est de constater que les produits manufacturés sont désormais tout à fait comparables.

La tâche devient ardue quand il s'agit de cultiver la différenciation et pourtant ?

L'étude omnibus commanditée chez un tiers de confiance IFOP, BVA ou Opinionway 
permet de faire la différence.

Ce n'est plus la marque qui en son nom propre prend la parole 
mais le pannel représentatif de consommateurs.

A la manière de tourner les questions, les réponses peuvent tendre vers une quasi unanimité.

A la question : pensez-vous qu'une voiture aujourd'hui doit prendre en compte le respect de l'environnement ?

Le score de réponses favorables frise les 90 % 
et c'est alors un boulevard pour construire une démonstration implacable : 

...parce que plus de 90 % du "public représentatif" de mon produit pense..., nous vous proposons....

Cette démonstration est bien évidemment signée IFOP 
et c'est le client final qui devient l'ambassadeur du produit... 

...quel bonheur !



Hémisphères 
gauche et droit 

Pourquoi, toujours le même constat : l'agence est amputée.

Les agences bien notées en création ont une facheuse tendance 
à bacler la mécanique du dispositif : jugée par les annonceurs comme incomplète ou pas suffisamment opérationnelle.

C'est un comble de négliger ce qui va donner de la visibilité, de la performance et du souffle à une belle idée créative. 

C'est également dommage de négliger ces sources importantes 
de revenus et donc de MB....

Que penser des agences sur le versant opposé qui propose des mécaniques clés en main, push & pull et bien évidemment multi-canal 

mais en ayant fait l'impasse sur un concept fort 
qui fera la différence en terme d'impact.

Les agences "sérieuses" ont bien souvent oublié qu'une bonne copy-strat formalise une bonne idée mais le bon ne doit pas être l'ennemi du beau !

A quand de belles campagnes qui emportent et qui se déclinent au travers d'un dispositif complet et implacable ?

La guerilla du partenariat 


Que font deux annonceurs qui ont des activités complémentaires, des cibles communes, 
des forts relais de visibilité, des réseaux de points de ventes constitués ?

RIEN, ils ne font rien et c'est bien navrant !

Les budgets Marcom n'étant pas extensibles, le calcul est vite fait pour défendre 
le partenariat et ses concrétisations :

--> Bannières croisées sur les sites respectifs
--> Offres commerciales croisées sur les bases clients respectives
--> Jeu avec tirage au sort et dotations fournies par chacune des parties et formulaire de co-registration
...
Le nec plus ultra étant l'intégration de l'offre partenaire dans le process de vente des parties.


La fin du modèle publicitaire ?


Depuis toujours les media se sont engagés sur les moyens mis en oeuvre. 
Jamais sur les résultats attendus !

Le web a dégagé de nouveaux modèles de visibilité fondés sur des campagnes retribuées à la performance.

L'annonceur ne paye plus son espace; 

ce sont les affiliés qui vont exposer les messages des annonceurs 
pour en retour percevoir une rémunération au clic ou au lead.

L'annonceur ne rétribue que le résultat effectif et peut se féliciter de la visibilité gratuite de son message.

Les schémas publicitaires classiques qui reposent sur des engagements de moyens, facturés au prix fort ont mangés leur pain blanc. 

Ce n'est qu'une question de temps liée à la démocratisation de ces nouveaux modèles


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